Présidentielles 2012 en France

Benoît Hamon (PS) : Hortefeux doit démissionner

Benoît Hamon (PS) : Hortefeux doit démissionner
(AFP) – Il y a 2 heures

PARIS — Benoît Hamon, porte-parole du PS, a estimé jeudi que Brice Hortefeux, ministre de l'Intérieur, qui vient d'être condamné pour atteinte à la présomption d'innocence, devait "démissionner".

"L'idée que je me fais de la morale en politique, c'est que quand on est condamné comme ça, on doit démissionner", a-t-il affirmé à l'AFP.

Faisant allusion à la jurisprudence qui voulait qu'un ministre mis en cause démissionne, M. Hamon a affirmé "désormais, on a un ministre de l'Intérieur condamné à deux reprises, dans le premier cas pour propos racistes", et dans le deuxième "pour violation de la présomption d'innocence".

"Il y a là une conception de la République irréprochable qui pose problème", a-t-il affirmé en allusion à la "République irréprochable" prônée par Nicolas Sarkozy.

M. Hamon avait déjà estimé lundi que M. Hortefeux n'était "pas à sa place dans le gouvernement", dénonçant sa défense des policiers condamnés à de la prison ferme à Bobigny, où il s'était comporté, aux yeux du socialiste, "comme le premier des syndicalistes policiers".

"Le dossier s'alourdit", a jugé M. Hamon.

Le ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux a été condamné vendredi à 1 euro de dommages et intérêts pour atteinte à la présomption d'innocence de l'ex-conseiller de Michèle Alliot-Marie à la Chancellerie, David Sénat, six mois après une première condamnation pour injures raciales.

Son avocat a immédiatement annoncé à la presse son intention de faire appel.

http://www.google.com/hostednews/afp/

Bruno Gollnisch ne baisse pas les bras face à Marine Le Pen

LYON (Reuters) - Seul rival de Marine Le Pen pour la présidence du Front national en janvier, Bruno Gollnisch ne s'avoue pas perdant d'avance pour les primaires en dépit de sondages le donnant battu à plate couture.

Déplorant le soutien affiché par Jean-Marie Le Pen à sa fille, le député européen insiste dans une interview à Reuters sur le fait que ce sont les adhérents du FN qui voteront, et non de simples sympathisants répondant à des enquêtes d'opinion.

"Je constate qu'aucun sondage ne porte sur les électeurs du FN", dit-il.

Selon un sondage Ifop diffusé vendredi, 91% des sympathisants FN souhaitent la victoire de Marine Le Pen, contre 6% à son concurrent, lorsque le fondateur du Front national passera la main en janvier prochain.

"J'ai certes un certain nombre de handicaps. Le soutien de Jean-Marie Le Pen à sa fille en est un. Ma sous-représentation médiatique ces dernières années en est un autre", reconnaît Bruno Gollnisch.

L'ex-numéro deux du parti, qui achève sa campagne des primaires dans son fief lyonnais, explique s'être efforcé de "compenser" ces handicaps "en allant au contact" des adhérents.

Soutenu par les éléments les plus traditionnels du mouvement et une partie de la presse d'extrême droite, il a sillonné la France et animé près de 80 réunions publiques en présence d'un auditoire non négligeable par rapport à celui de Marine Le Pen.

RÉCONCILIER LA FAMILLE NATIONALE

Il juge la ligne de sa rivale, qui affirme vouloir rendre le mouvement plus fréquentable, très "floue", surtout depuis sa sortie sur les "prières de rue" musulmanes, où elle a paru vouloir s'inspirer des outrances de son père.

"L'ascension médiatique et politique de Marine Le Pen depuis des années se fait sur le thème d'une certaine distanciation par rapport à la ligne traditionnelle du FN. Stratégie qu'elle paraît avoir totalement abandonnée aujourd'hui", note-t-il.

"Au départ, on parlait de modernisation, de dédiabolisation, de déringardisation, et je ne sais toujours pas en quoi ça consiste", ajoute-t-il.

Sur le fond, il considère avoir une conviction de la Nation "plus complète, plus enracinée, culturelle et spirituelle" que la vice-présidente du FN.

Le député européen note aussi des différences entre leurs points de vue, puisqu'il n'est pas partisan d'une sortie radicale de la France de l'euro, contrairement à Marine Le Pen.

"Je suis comme elle très hostile à l'évolution de la Communauté européenne, mais je souhaiterais, avant d'en sortir, qu'on s'efforce de renégocier les traités, pour en faire un espace de coopération sur des projets précis, culturels, scientifiques, de transports", dit-il.

"Je suis peut-être un peu plus prudent sur l'Europe que ne l'est Marine, qui voudrait en sortir tout de suite".

Marine Le Pen, qui veut faire du FN un parti de gouvernement, reproche à son rival de vouloir ramener au bercail des groupes qui en ont été exclus ou qui en sont partis en dénonçant notamment le "népotisme" de Jean-Marie Le Pen.

"Elle veut rassembler tous les Français et me critique en disant que je veux rassembler des groupuscules. Mais ce n'est pas ce que je souhaite", rectifie-t-il.

"Moi, j'ai une stratégie en plusieurs étapes de réconciliation de la famille nationale, d'élargissement sur notre droite à ses conservateurs attachés à des valeurs traditionnelles qui votaient De Villiers, Boutin, Dupont- Aignan, Pasqua et également sur la mouvance de gauche patriotique", explique-t-il.

Bruno Gollnisch, qui coordonne le groupe des parlementaires britanniques, hongrois, flamands, français, autrichiens et bulgares d'extrême-droite au Parlement européen regrette de ne pas siéger avec les députés du Néerlandais Geert Wilders.

"Ses élus se refusent à toute relation avec nous dans la crainte sans doute d'être diabolisés", déplore-t-il.

http://www.lepoint.fr/

Hollande traité de «capitaine de pédalo» : le PS contre-attaque
ActualiséMoscovici, Montebourg, Lang et Hamon ont reproché au candidat du Front de gauche de faire le jeu de la droite en s'en prenant au socialiste.
693 commentaires
Par LAURE EQUY


François Hollande, sur la Promenade des Anglais à Nice le 18 juillet. (Reuters/Jean-Pierre Amet)

Jean-Luc Mélenchon et François Hollande sont sur un pédalo; qui tombe à l’eau? En traitant le socialiste de «capitaine de pédalo» dans «une saison de tempêtes», ce week-end dans une interview au JDD, le candidat du Front de gauche, qui reproche surtout à Hollande comme à Sarkozy d’avoir «la même analyse de la crise», s’est attiré les foudres de ses anciens camarades. «J’ai dû piquer un nerf sensible qui leur fait perdre tout sens de la mesure. Toute cette agitation autour d’un bon mot, ce n’est quand-même pas Hollande va me le reprocher, lui qui a passé sa vie à en faire», minimise Mélenchon prévenant ses concurrents qu’une campagne, «ce n’est pas du fromage lyophilisé».

C’est le coordinateur de campagne de Hollande pendant la primaire, Pierre Moscovici, qui a le premier dénoncé une «rhétorique qui n’est pas toujours de gauche» consistant à renvoyer dos à dos PS et UMP, et qui sert «la droite ou l’extrême droite». «La déclaration de Jean-Luc Mélenchon m’a choqué, a-t-il dit sur Radio J, c’est une faute. Cette idée reprend le thème de la droite, "le marin d’eau douce"... Elle est vraiment à côté de la plaque.» Mélenchon contre-attaque alors par communiqué, voyant dans la réplique de Moscovici un «dérapage». «Il se croit bien inspiré en m’accusant de faire le jeu de la droite et de l’extrême droite parce que j’ai fait mouche», croit-il savoir.

Mélenchon en Georges Marchais, Montebourg gardien de plage

Ce lundi, ce reproche adressé à Mélenchon de se faire l’allié de la droite en taclant Hollande est repris par d’autres socialistes. Moscovici intervient à nouveau pour appeler au «respect» et à «la tenue nécessaire» - précisons qu’entre temps Hollande a aussi été la cible du ministre UMP, Luc Chatel, qui l’a comparé à «Babar, roi des éléphants». Et Jack Lang condamne une «campagne ordurière» contre son candidat. La charge est lourde: le député PS parle «d’étranges convergences dans l’insulte grossière» unissant «le cabinet noir de l’Elysée, Jean-Luc Mélenchon et Marine Le Pen». Et de suggérer au leader du Parti de gauche d'adopter un «comportement plus convenable».

Lors de son point-presse hebdomadaire, le porte-parole Benoît Hamon regrette, à son tour, que Mélenchon «s’inscrive dans une compétition avec la droite», où c’est «à qui disqualifiera le plus François Hollande». «Quand il pose un signe égal entre François Hollande et Nicolas Sarkozy vis-à-vis de la crise (...), intellectuellement son analyse est fausse», recuse-t-il.

Arnaud Montebourg a frappé plus fort, sur France Inter, en recommandant au candidat allié au PCF de ne pas se transformer «en une sorte de Georges Marchais qui voudrait faire échouer la gauche 30 ans après». Réplique immédiate du secrétaire national du Parti de gauche, Alexis Corbière, sur son blog: «Pour être utile aux belles idées qu’il a défendues durant la primaire, souvent empruntées au Front de Gauche, M. Montebourg devrait éviter de se donner pour rôle de gardien de plage devant le pédalo de M. Hollande.»

«Il y a toute la rangée des repentis qui part devant pour faire du zèle», observe Mélenchon, «amusé» par Lang mais «peiné» par la pique de Montebourg. Puis il balance: «Moi aussi j’en prends des claques. Quand tous ces gens me traitent d’agent de l’extême droite alors que ce sont ex qui gouvernent avec en Grèce, est-ce que je pleurniche?»

Par Europe1.fr avec Thierry Guerrier
Publié le 13 février 2012 à 09h22
Mis à jour le 13 février 2012 à 09h40


Selon le PS, les déplacements de Nicolas Sarkozy sont des dépenses de campagne. © MAXPPP
Le PS considère que le contribuable n'a pas à payer ses déplacements en période de campagne.

Le camp Hollande veut saisir la Commission des comptes de campagne pour protester contre les déplacements de Nicolas Sarkozy, financés par le contribuable, a appris lundi Europe 1. Pour le socialiste, ces visites sont clairement celles d'un candidat en campagne, même si le président s'en défend.

Selon les informations du buzz politique d'Europe 1, Daniel Vaillant, mandataire de François Hollande, et Régis Juanico, trésorier du PS, ont prévu d'écrire lundi au président de la Commission nationale des comptes de campagne. Leur objectif : qu'elle intègre dans les dépenses du probable candidat Sarkozy les coûts de ses déplacements.

"De véritables meetings"

"Nicolas Sarkozy ne respecte pas la loi", a déploré Manuel Valls, directeur de la communication de François Hollande, lundi matin sur Europe 1. "Depuis des semaines, il organise de véritables meetings avec l'argent public".

En ligne de mire notamment, ses visites à Toulon, dans le Tarn et surtout à Fessenheim jeudi dernier. L'équipe de François Hollande souhaite que le coût de la salle et des buffets soit pris en charge par l'UMP.

Présence médiatique critiquée

Le mois dernier, le PS s'en était déjà pris aux ambiguïtés du "président-candidat" en saisissant le CSA. Le député PS Didier Mathus avait alors vivement critiqué le fait que le chef de l'Etat allait "monopoliser" six chaînes de télévision lors de son discours du 29 janvier, à trois mois du premier tour de l'élection présidentielle.

Le Conseil supérieur de l'audiovisuel avait alors tranché en faveur du PS, et exigé que le temps de parole de Nicolas Sarkozy soit comptabilisé "en tant que candidat présumé".

que pensez vous de marine le pen


moi elle me fait peur apres tout ce que j ai entendu là ce soir sur la 2

Marine le pen, j'en pense rien. Même si elle va faire un gros score je pense. La majorité de ceux qui ont voté Sarko en 2007 vont retourner vers elle...

Si elle passe, toutes les cités seront en feu ca sera une guerre civile

ben oui que du bonheur

coucou tom.


L'ancien ministre socialiste se déclare «partisan» du président, «à condition qu'il installe un gouvernement d'union nationale».

José Bové a qualifié vendredi Claude Allègre d'"anachronisme scientifique" et estimé que son éventuelle nomination au gouvernement "serait un très mauvais signe pour l'écologie". ( AFP Eric Feferberg)

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L'ancien ministre socialiste de l'Education Claude Allègre a exprimé son soutien à Nicolas Sarkozy, estimant que la France avait "besoin" de lui, et que François Hollande, s'il était élu, serait un "Chirac II au pouvoir".

"On a besoin de Sarkozy car nous sommes dans une crise très profonde", déclare l'ancien ministre de Lionel Jospin dans une interview au Journal du Dimanche. "Je suis partisan de Nicolas Sarkozy, à condition qu'il installe un gouvernement d'union nationale, dans lequel des gens comme François Bayrou auraient leur place, avec beaucoup d'experts", ajoute-t-il.

Claude Allègre assure à ce sujet avoir obtenu "un certain nombre d'assurances" de la part de Nicolas Sarkozy, "mais ce n'est pas à moi de les annoncer". Se défendant d'être un "cire-pompes", Claude Allègre souligne "que les parts de réussite de Nicolas Sarkozy, qu'on l'aime ou qu'on ne l'aime pas, résident justement dans sa politique extérieure. Il a une énergie formidable".

Selon lui, "tous les Allemands savent bien qu'au fond, c'est lui qui tire Angela Merkel, qui la pousse à agir".

Présentant François Hollande comme un "politicien très intelligent et très sympathique", Claude Allègre estime toutefois que si le candidat socialiste était élu, "on aura Chirac II au pouvoir".

"Chirac a cédé à tout, Hollande, c'est la même chose. Il fait des compromis tout le temps! Je ne le vois pas du tout dans le rôle", a-t-il ajouté.

"Si Dominique Strauss-Kahn avait été candidat, je l'aurais en revanche soutenu", a assuré Claude Allègre.

Selon le Journal du Dimanche, Claude Allègre devrait intérger le comité stratégique de la campagne de Nicolas Sarkozy.

(AFP)

Après Besson, Lang, Kouchner... un nouveau traitre

Ils peuvent s regarder dans la glace ces gens là ?

AdminTN a écrit:

Parlons un peu des candidats moins médiatisés......

Philippe Poutou !

Il veut une révolution, pour que le peuple reprenne le pouvoir !

Voici son passage chez Ruquier hier soir

ah super remm tu as regarder la même chose que moiiii

Je vais me suicider je reviens

Pauvre France !!! Les Français sont des veaux !

non je ne dirais rien je ne prendrais pas part a ce débat !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! " vive marine "

ben ouai bien la preuve de la grande réflexion des gens ..... pour que votre pays bouge faut aller chercher l’extrême y a que ça qui va faire changer les choses en votant comme d'hab vous allez changer kedal puis vous pleurerez encore pendant 5 ans .....

dreakill a écrit:ben ouai bien la preuve de la grande réflexion des gens ..... pour que votre pays bouge faut aller chercher l’extrême y a que ça qui va faire changer les choses en votant comme d'hab vous allez changer kedal puis vous pleurerez encore pendant 5 ans .....

Que veux tu qu'elle change ?

C'est le même système que droite gauche !

Son programme c'est les immigrés et basta.

Or les immigrés ramèneraient plus d'argent à l'état qu'ils en prennent selon une dernière étude.

http://www.rmc.fr/editorial/236213/hirsch-les-immigres-ne-creusent-pas-nos-deficits-au-contraire/

De plus, je vois pas comment elle pourrait renvoyer des FRANCAIS dans leur pays ? Car c'est ceux à quoi pensent ses sympathisants...

Et qui gouvernerait avec elle ? Personne

Bref , c'est comme sarkozy qui disait nettoyer la racaille. 5 ans plus tard, la violence sur les personnes a augmenté de 20% et les gens ne se promènent toujours pas en tout insécurité dans les banlieus la nuit.

Bref que du blabla la mère marine.

heuuu qui gouvernerait avec elle ?? elle l'a bien dit qu'elle ferait un rassemblement ni jean marie ni son mari sont dans son programme de gouvernement !!! faut pas non plus exagérer!!! elle a pas dit qu'elle renverrait tout le monde chez lui mais de diminuer fortement l'arrivage des immigrés et les "français" déjà dans le pays elle ne les renverra pas chez eux !! elle ne ferra que arreter le droit a la secu des non Français car rien que ça on imagine pas le frique qui est dépenser pour eux et qui pourrait etre bien utile aux personnes âgées FRANCAISE !

la France a juste pas les couilles de voir si ça pourrait faire des changements au lieu de l'enfoncée faudrait peut être essayer de voir si ça pourrait changer je ne dis pas que ça changerait tout d'un coup mais ça coute rien d'essayer

et a propo de "que du blabla" vous allez voter qui ??? a par des encore plus mytho que "la marine"

a la place on préfère mettre en grands les trucs dit impossible e ou néfaste de son programme hors que tous les programmes de tous ont des trucs impossible et néfaste

mais par contre eux a la télé on va pas aller leurs foutre dans les pattes leurs opposant comme elle a eu droit avec l'autre gros con de mélanchon juste pour la descendre au plus bas !! et la faire passée pour la pire des races qui existe sur terre

il suffit de regarder la suisse depuis des années le FN est au pouvoir et on ne peu pas dire que c'est un échec

regardez le nombre d’immigration par a port a chez nous et regardez comment se porte leurs économie ..... y a pas vraiment photo !

Hello,

Ce n'est pas en luttant contre l'immigration que les salaires vont augmenter, que les prix vont diminuer, ou que la crise va s'arrêter.

Par exemple sous Sarkozy pourtant de droite et qui devait tout résoudre concernant l'insécurité, et bien les violences sur personnes ont explosées par exemple.

Enfin personnellement, je préfère que l'on se rassemble et qu'on recherche une politique juste et d'arrêter de chercher des boucs-émissaires.C'est une méthode qui ne fait que de nous opposer les uns aux autres, et qui apportent au final que de la haine et de la violence.

10 ans de droite au pouvoir et le résultat est que notre pouvoir d'achat a baissé, l'insécurité a augmenté, le chomage a explosé, et les différentes tranches de population gens se haissent car systématiquement opposées les unes aux autres.

Va plutôt falloir avancer et accepter cette population que le front national ne veut pas voir chez nous. Comme l'ont fait les américains avec le peuple 'noir'. Il y'avait le KKK, et maintenant les personnes 'noires' sont la fierté du peuple américain.

Concernant le FN en Suisse. Déjà le FN n'existe pas en Suisse et j'ai de forts doutes sur le fait que l'extrême droite serait au pouvoir en suisse....

Si tu as une preuve quelconque, je serai content de la lire.

A+

alors les partis au pouvoirs a par la présidente "Micheline Calmy-Rey" qui est du ps et la vice présidente "Eveline Widmer-Schlumpf" qui est du centre sont des partis :
(PDC : Parti Democrate-Chretien Suisse ) qui est a la limite de l’extrême droite
(PRD : Parti Radical-Democratique Suisse) droite fusionner avec le Le Parti libéral-radical (extrème)
Les Démocrates suisses (des gros nationaliste radicaux)
et les écolo

alors ci ça c'est pas une politique droitiste voir extremiste qu'est ce que c'est ....